Ste Thérèse de Lisieux

 

Marie-Françoise Thérèse Martin était une religieuse carmélite française née à Alençon le 2 janvier 1873 et morte très jeune à Lisieux le 30 septembre 1897.

Son nom de religieuse était sœur Thérèse de l’Enfant Jésus et de la Sainte Face, également connue sous les appellations "sainte Thérèse de Lisieux", "sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus" ou encore "La petite Thérèse".

Ses écrits célèbres, dont Histoire d'une âme publiée peu de temps après sa mort, en font l'une des plus grandes saintes du XXe siècle.

Elle est fêtée le 1er octobre.

 

 

Elle est docteur de l'Eglise, patronne des missions et patronne secondaire de la France avec sainte Jeanne d'Arc, la patronne principale étant la Vierge Marie.

La dévotion à sainte Thérèse s'est développée partout dans le monde.

Considérée par le pape Pie XI comme « l'étoile de son pontificat », elle est béatifiée (déclarée bienheureuse) puis canonisée (déclarée sainte) dès 1925.

Poème de sainte Thérèse : 
"Ma joie", 
chanté par Natasha St-Pier 
et les Stentors

 


Il est des âmes sur la terre 
Qui cherchent en vain le bonheur, 
Mais pour moi, c’est tout le contraire, 
La joie se trouve dans mon cœur. 
Cette fleur n’est pas éphémère, 
Je la possède sans retour 
Comme une rose printanière 
Elle me sourit chaque jour.

Vraiment je suis par trop heureuse, 
Je fais toujours ma volonté… 
Pourrais-je n’être pas joyeuse 
et ne pas montrer ma gaieté ? 
Ma joie, c’est d’aimer la souffrance, 
Je souris en versant des pleurs, 
J’accepte avec reconnaissance 
Les épines mêlées aux fleurs.

Lorsque le ciel bleu devient sombre 
Et qu’il semble me délaisser,
Ma joie, c’est de rester dans l’ombre, 
De me cacher, de m’abaisser. 
Ma joie, c’est la Volonté Sainte 
De Jésus mon unique amour. 
Ainsi, je vis sans nulle crainte, 
J’aime autant la nuit que le jour.

Ma joie, c’est de rester petite, 
Aussi, quand je tombe en chemin 
Je puis me relever bien vite 
Et Jésus me prend par la main, 
Alors le comblant de caresses, 
Je Lui dis qu’Il est tout pour moi, 
Et je redouble de tendresses 
Lorsqu’Il se dérobe à ma foi.

Si parfois je verse des larmes, 
Ma joie, c’est de les bien cacher.
Oh ! que la souffrance a de charmes 
Quand de fleurs on sait la voiler ! 
Je veux bien souffrir sans le dire 
Pour que Jésus soit consolé. 
Ma joie, c’est de le voir sourire 
Lorsque mon cœur est exilé.

Longtemps encore je veux bien vivre, 
Seigneur, si c’est là ton désir. 
Dans le Ciel je voudrais te suivre 
Si cela te faisait plaisir. 
L’amour, ce feu de la Patrie, 
Ne cesse de me consumer. 
Que me font la mort ou la vie ? 
Mon seul bonheur, c’est de t’aimer !

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

Ascenseur pour le Ciel

ou la vie de sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus et de la Sainte Face 

Film écrit et réalisé par Claire Jeanteur


Elle avait été élevée dans une religion où il fallait mériter son Ciel, avec un Dieu juge et vengeur. Elle découvre une religion et un Dieu d'amour. Et confrontée à une nuit spirituelle, elle vivra le drame de l'athéisme moderne. Carmélite à 15 ans, morte à 24, "la plus grande sainte des temps modernes" avait tout compris.

En octobre 2010, des élèves du collège Notre-Dame se sont rendus à la cathédrale de Bayonne pour se recueillir devant les reliques de sainte Thérèse.

VIVRE D'AMOUR

Vivre d'amour, c'est donner sans mesure,

Sans réclamer de salaire ici-bas ;

Ah ! Sans compter je donne, étant bien sûre

Que lorsqu'on aime on ne calcule pas.

Au coeur divin, débordant de tendresse,

J'ai tout donné ! Légèrement je cours..

Je n'ai plus rien que ma seule richesse :

Vivre d'amour !

 

Vivre d'amour, c'est bannir toute crainte,

Tout souvenir des fautes du passé.

De mes péchés je ne vois nulle empreinte,

En un instant l'amour a tout brûlé

Flamme divine, ô très douce fournaise,

En ton foyer je fixe mon séjour ;

C'est dans tes feux que je chante à mon aise :

Je vis d'amour !

 

 Extraits des paroles de Ste Thérèse de l'enfant Jésus

 

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